ET PUIS NOUS DANSERONS

Merab s’entraîne depuis son plus jeune âge dans le cadre de l’Ensemble National Géorgien avec sa partenaire de danse, Mary. Son monde est brusquement bouleversé lorsque le charismatique Irakli arrive et devient son plus fort rival et son plus grand désir.
« Le réalisateur suédois Levan Akin a tourné son deuxième long-métrage au pays de ses parents, la Géorgie, où il eut envie de se rendre, il y a trois ans, pour y rencontrer la jeunesse. A l’origine de ce projet, un reportage diffusé à la télévision sur les événements du 17 mai 2013, à Tbilissi, où des jeunes gens rassemblés à l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie s’étaient fait attaquer par des milliers d’hommes, à la tête desquels se trouvaient de nombreux prêtres. Une fois sur place, Levan Akin a découvert des filles et des garçons désireux de s’émanciper des règles conservatrices qui régissent encore la société géorgienne. Leurs témoignages ont nourri le scénario de Et puis nous danserons» (Le Monde).